A LA UNE
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Dix ans après les émeutes de 2005, que sont devenues nos banlieues ?
Qu’est-ce qui a été fait pour les sortir de la relégation absolue, géographique, matérielle et symbolique, à laquelle les évènements de 2005 répondaient ?
Dans ce dossier, nous essayons de donner à voir un peu de la réalité polymorphe, complexe et subtile, des banlieues françaises. Sans aveuglement, sans fantasme, sans désespoir aussi. Entretien avec Fabien Truong.
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Contre une vision misérabiliste ou diabolisée des banlieues s’est créée une Académie. Ce terme a été délibérément choisi pour mettre en lumière le fait que les banlieues sont aussi et peut-être surtout , un fabuleux terreau de création, à tous les sens du terme. Ne serait-ce pas ici que se joue l’avenir de notre vieux pays ? Entretien avec Youssef Ben Amar.
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Ce dont la banlieue a été le nom depuis un tiers de siècle n’est pas né un jour sinistre d’octobre 2005 dans un transformateur de Clichy-sous Bois. Lorsque l’émeute éclate après la mort dramatique de Zyed et Bouna, l’essentiel du décor, du scenario et du casting sont déjà fixés depuis longtemps. Analyse d’Alain Bertho.
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Suite à la révolte des bourgeois du XVIème devant la décision de la mairie de Paris d’ouvrir un centre d"hébergement d’urgence dans leur arrondissement un article du Parisien (mais oui !) publie la carte de Paris et le graphique du nombre de places d’hébergements d’urgence par arrondissement.
Hébergement d’urgence à Paris : les principaux centres sont dans l’est
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ON A VU
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Cyril, Mélanie, Alexandre, Laurent, Raphäel et Antoine, partent explorer le monde en quête de solutions capables de sauver leurs enfants et, à travers eux, la nouvelle génération. A partir des expériences les plus abouties dans tous les domaines, ils vont tenter de reconstituer le puzzle qui permettra de construire une autre histoire de l’avenir.
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L’homme de gauche et historien s’attaque à la question de l’identité qui obsède l’Europe.
« Eux » et « nous ». Cette opposition n’a jamais été aussi forte en Europe, alors que la crise des migrants fait rage.
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Nous ne pouvons plus faire comme si nous n’y avions pas notre part, part d’indifférence, de silence ou d’absence. D’avoir dit non nous requiert : notre liberté appelle notre responsabilité. Publié aux éditions Don Quichotte (200 p., 15 euros), Dire nous sort en librairie le 3 mars, avec ce sous-titre : Contre les peurs et les haines, nos causes communes.
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De septembre 2012 à mai 2013, la France s’enflamme sur le projet de loi du mariage pour tous. Pendant ces neuf mois de gestation législative, la sociologue Irène Théry raconte à son fils les enjeux du débat.
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